Cambridge, R.-U. — 11 mars 2021 — BIOS Health s’est associé au Royal Papworth Hospital de Cambridge, le principal hôpital britannique spécialisé dans les maladies cardiaques et pulmonaires, et au Sheffield Teaching Hospitals NHS Foundation Trust dans une étude visant à déterminer les facteurs de risque de l’hypertension artérielle pulmonaire. La technologie de surveillance à distance des patients de BIOS permettra de collecter des données de santé en continu auprès de leurs patients et d’obtenir des informations alimentées par l’IA sur les schémas de leurs données cardiaques et de mobilité. 

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L’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) est une maladie cardiorespiratoire chronique causée par des modifications des artères pulmonaires, principalement chez les jeunes. Elle entraîne une hypertension artérielle et, dans les cas graves, peut conduire à une insuffisance cardiaque. Si certains patients souffrant d’HTAP semblent avoir une prédisposition génétique, dans de nombreux cas, la cause de la maladie est inconnue. L’étude de cohorte nationale sur l’HTAP idiopathique et héritable vise à mieux comprendre les causes et les traitements potentiels de cette maladie en étudiant une cohorte de patients atteints de la maladie pendant plusieurs années. 

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BIOS suivra la mobilité et l’activité cardiaque d’un certain nombre de patients participants à l’étude à l’aide de dispositifs portables. Cela signifie qu’une grande quantité de données peut être collectée pendant que le participant à l’essai mène sa vie quotidienne. Le logiciel d’apprentissage automatique de BIOS analysera ces données pour donner une vue d’ensemble de leur mobilité, de leur forme physique et de leurs performances cardiaques au fil du temps, ainsi que de la manière dont les modèles de données sont liés aux formes individuelles d’HTAP des patients et à leurs résultats à long terme. 

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L’objectif de l’entreprise pour les études futures est de combiner les données collectées à partir d’appareils portatifs avec la technologie neuronale unique de BIOS, qui peut comprendre et séquencer le code neuronal, afin de développer des traitements neuronaux alimentés par l’IA pour les maladies chroniques. Les interfaces neuronales peuvent être utilisées pour établir une connexion directe avec les neurones autour du cœur et d’autres organes, ce qui offre une toute nouvelle classe de traitements pour les maladies cardiovasculaires. Dans la majorité des affections cardiaques, le rôle du système nerveux est connu pour être un facteur majeur de la maladie, mais il est mal compris. Pour la médecine cardiaque dans son ensemble, si nous parvenons à décoder et à coder ces signaux neuronaux en temps réel, nous pourrons traiter les maladies chroniques de manière efficace, automatisée et personnalisée. 

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Emil Hewage, PDG et cofondateur de BIOS, a déclaré : « Grâce à notre partenariat avec le Royal Papworth Hospital et le Sheffield Teaching Hospitals NHS Foundation Trust, BIOS peut développer une compréhension des impacts et des facteurs de risque des maladies cardiorespiratoires chroniques sur la santé, ce qui pourrait déboucher sur des traitements susceptibles de changer la vie. Cependant, la pandémie de COVID-19 a rendu plus important le fait de pouvoir réaliser des études comme celle-ci à distance, sans sacrifier la qualité des données recueillies auprès des patients. La plateforme de télésurveillance BIOS peut aider les cliniciens à suivre les mesures de santé et les enquêtes auprès des patients dans une seule plateforme alimentée par nos propres ensembles de données et les biomarqueurs identifiés par notre recherche intensive sur les neurones.  À l’heure où le COVID-19 met en lumière la fragilité de la santé des personnes atteintes de maladies chroniques, nous sommes fiers de lancer de nouvelles initiatives qui ont le potentiel de créer des traitements et des préventions beaucoup plus puissants, et donc de réduire le nombre de personnes à haut risque à long terme. » 

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Mark Toshner MD MRCP, maître de conférences à l’école de médecine clinique de l’université de Cambridge et consultant honoraire du Papworth Hospital NHS Trust, a déclaré :